viandes
d'importation
Agneau Ibérique - Espagne
Dans les montagnes d’Aragon, évoluent les agneaux ibériques jusqu’à l’âge de 6 mois maximum. Nourris principalement grâce au lait de leur mère et complétée par un mélange de maïs et de graines de tournesol, leur alimentation permet d’obtenir une viande juteuse et savoureuse avec une texture incomparable. En effet, sa graisse, plus présente que dans les autres races d’agneau, rend la viande fondante.
Boeuf Irlandais
Depuis toujours les éleveurs irlandais recherchent des animaux dociles et capables de produire une viande d’une qualité irréprochable à partir de l’herbe des prairies. Ceci les a naturellement conduits à sélectionner des animaux précoces : d’un gabarit modeste, déposant naturellement du gras intra musculaire – le fameux persillage – et atteignant rapidement un développement optimal. La viande de ces animaux est ainsi jeune, ce qui garantit tendreté et saveurs.
Angus Irlandais
Les premiers Angus ont été introduits en Irlande vers 1860 et se sont immédiatement imposés dans le paysage. C’est aussi une race rustique très adaptée aux conditions d’élevage des fermes irlandaises. Les éleveurs s’en occupent avec soin mais elles peuvent se débrouiller seules dans les pâturages et se nourrir exclusivement d’herbe. La vache Angus fait preuve également d’une très grande docilité, c’est un animal naturellement peu stressé, ce qui est très positif pour la qualité de la viande. Sa texture agréable et soyeuse grâce à un léger persillage, lui donne ses saveurs si riches et fait son succès sur les plus grandes tables internationales.
Angus Argentin
Comme pour l’Angus d’Irlande, la race a été sélectionnée par les Argentins pour sa résistance et son adaptabilité. Elle supporte alors aussi bien le froid que la chaleur et est donc privilégiée pour l’élevage à l’herbe dans les vastes plaines de la pampa. Avec une alimentation de grande qualité, elle donne un bon persillage et un goût beurré. Ce marbrage qui fond à la cuisson apporte jutosité et saveurs pour le plaisir des fins gourmets. Contrôlé et sélectionné avec soin, l’Angus Argentin est réputé dans le monde entier.
Blonde de Galice - Espagne
Rubia Gallega en espagnol, c’est une race bovine galicienne – région située au nord-ouest de l’Espagne – dont la viande compte parmi les meilleures du monde. C’est une variété de vache rustique utilisée traditionnellement pour travailler dans les champs. Leur alimentation se compose d’herbe fraîche et de maïs cultivés en Galice. Sélectionnée avec soin selon des critères précis permettant d’évaluer la qualité de cette viande d’exception – à savoir : l’âge de la vache (minimum 5 ans), le persillage, la couleur et la couverture de gras, la conformation de l’animal – sont gage de qualité.
Boeuf Simmental - Allemagne
Généralement élevée sur les hauts plateaux des Alpes autrichiennes et dans les forêts de Bavière, elle était utilisée pour son excellent niveau de production laitière. Sa renommée mondiale s’appuie aujourd’hui sur une mixité viande/lait très intéressante. L’été, elle se nourrit d’herbe riche et pure qui pousse en altitude tandis qu’en hiver, elles sont rentrées en étable et nourries exclusivement au foin. Cette alimentation saine en fait une race à viande de très bonne qualité. En effet, la viande est musculeuse et persillée, ce qui lui donne un goût incomparable. Le persillage (gras intramusculaire) fond à la cuisson et donne du goût à la viande.
Black Angus Américain
Vache rustique, rare, séduit viandards habitués des bonnes tables pour sa finesse et son goût persillé. Elle est élevée à l’air libre dans les grandes plaines désertiques du Texas mais sa réputation dépasse les frontières dans le monde entier. Sa particularité ? Sa chair qui a tendance à s’engraisser très facilement et uniquement à l’herbe ! Dans l’assiette : une viande d’exception, d’une finesse et au goût incomparable, généreusement persillée. Quand on s’intéresse de près à son grain, il présente un parfait équilibre entre viande et gras. Un facteur déterminant de sa qualité. Finalement en bouche, une tendreté et des arômes subtils de noisettes.
Black Angus Australien
Synonyme d’une viande de qualité supérieure, les bêtes sont sélectionnées en fonction du persillage, de l’âge, du poids, de la couleur de la viande et du gras. Élevées à l’Est de l’Australie, les bêtes sont évaluées selon le système australien de prédiction de la qualité de la viande (Meat Standards Australia – MSA). Le goût et la tendreté de la viande sont garantis car pendant 150 jours au moins, les bêtes se nourrissent de blé, d’orge ainsi que d’avoine et sans hormone de croissance.
Wagyu Américain
Croisement de races pures et races bovines traditionnelles, le résultat est un mélange parfait avec son célèbre marbrage beurré du Wagyu et la saveur robuste du bœuf américain. C’est le meilleur des deux mondes : le Japon et les États Unis.
Wagyu Australien
Originaire du Japon, la race Wagyu a été importée il y a plusieurs décennies en Australie pour sa prédisposition à produire une viande très persillée et goûteuse. Croisé le plus souvent avec des races britanniques Angus ou Hereford, le Wagyu Australien a su se créer une réelle identité. En s’inspirant des méthodes d’élevage et d’alimentation des Japonais, tout en les adaptant à leurs habitudes de consommation, les Australiens proposent aujourd’hui une viande de très grande qualité. Les animaux sont nourris aux grains durant 300 à 500 jours, ce qui leur confère un persillage incroyable. C’est l’une des caractéristiques principales de la viande de Wagyu Australien.
Boeuf de Kobé - Japon
Il s’agit d’un animal dont la viande est un mets exceptionnel, unique, et qui se place dans le très haut de gamme ! Il est exclusivement élevé au Japon, ce qui lui donne ses qualités inimitables puisque le Kobé est élevé d’après des méthodes artisanales et ancestrales Japonaises. Il est nourri exclusivement de lait jusqu’à ses 3 mois puis d’un mélange d’ensilage (herbes, paille de riz, maïs…) pendant environ 900 jours, cela jusqu’à ce qu’il atteigne 31 mois et un poids moyen de 430 kilos. Aujourd’hui, le cheptel est relativement faible, car les méthodes d’élevage mettent en avant la qualité, bien plus que la quantité de têtes de bétail ! Ainsi le Japon n’autorise qu’une exportation de 500 de ses bestiaux par an sur le marché européen (depuis 2014). D’où son prix extrêmement élevé.